nouvelles de Kislev

" Que de neige, que de neige à perte de vue, s' exclama Konrad, a la vue des immenses plaines de Kislev. A peine débarqué sur le quai que le jeune pistolier s' était élancer en dehors des murs de la ville pour reconnaitre les alentours. La traversée depuis son reikland natal lui parraissait avoir duré des années, surtout sur ce vieux caboteur qu' était le loup des mers. Non seulement, il avait eu le mal de mer, mais il avait aussi du supporter cet outre à vin de Friedrich tout le long du voyage. Heureusement, loué soit sigmar, ils étaient arrivés à bon port, en la ville d' Erengrad. Tout en se remémorrant se souvenir, il se laissait guider par Guisdo, son cheval qui comme lui découvrait les splendeurs et la beauté de la campagne kislévite. Un rapide coup d' oeil derrière lui l' informa qu' ils s' éloignaient assez rapidement de hauts murs de la cité, et il préfera refrenner les ardeurs de son fidèle destrier. Non pas qu' il mettait en doute la fiabilité de Guisdo, mais il préferait se savoir à l' abri, au chaus dans une bonne auberge, plutot que chercher son chemin dans la toundra glacée, d' autant quand ces contrées septentrionnale, la nuit venait tôt. Guisdo hennit de dépit lorsque son cavalier lui intima de faire demi tour. Qu' importe, se mit à penser Konrad, il était ici pour un petit bout de temps, donc il aurait tout à loisir de poursuivre son excursion le lendemain. Surtout que le vieux Friedrich lui avait comter l' exellente hospitalité dont font preuve les kislévites. Sans compter le Kvas, dont il n' avait encore jamais gouté, mais comme lui avait souvent fait remarqué son père, les expériences forment la jeunesse".

Voila donc le petit prologue, au récit que je compte écrire durant le mois de septembre, j' espère que vous apprécierez la compagnie du jeune Konrad.

Allez, hop, on continue ...

" Lorsque Konrad atteignit Erengrad, les dernières lueurs du jour s' évanouirent au loin. Une fois la porte passée, il se dirigeat vers les quais. En effet, ses compagnons de voyage s' était surement déja rassemblé dans l' une des nombreuses tavernes de la ville. Le jeune homme se surpris à sourire, à la pensée de Friedrich étalé sur sa table, comme il avait coutume de la faire, lorsqu' il l' avait connu a Marienburg. Absorbé par ses pensées, il parvient finalement a son navire. Une fois monté à bord, il trouva endormi le guetteur.
-Eh bien, en voila qui prend son role au sérieux ... se mit à penser tout haut le pistolier.
Cela eut pour conséquence de reveiller l' homme, qui se mit sur son séant en beaugréant.
-Hein, questcequisepasse ? Ah, c' est toi gamin, que se que tu veux?
-Toujours d ' exellente humeur à ce que je vois, Karl ... Tu ne saurais pas où est le reste de l' équipage.
-Par Sigmar, que si, ils sont partis à l' auberge du tsar rouge, à 2 minutes d' ici.
-Merci, et bonne garde...
-C'est ça, c' est ça gamin, maugrea le marin.
Suivant les indications du Karl, le jeune homme se dirigeat vers la batisse. Une fois arrivé, il avisa le garçon d' écurie de l' établissement, lui indiquant de mettre son cheval dans l' écurie, en compagnie des autres bètes de sommes du navire.
Une fois cela effectué, il entra dans l' auberge. Il fut accueillit par des saluts tonitruants des marins du loup des mers, nottament de Friedrich. Konrad se dit en lui même que cette soirée ne serai pas des plus calme."

La suite au prochain épisode...

La suite ...

"- Comme je vous le dis, un kraken ... s' exclama une nouvelle fois Friedrich, en racontant à qui voulait l' entendre, le récit du voyage qu' ils avaient effectué sur le loup des mers. Konrad ne put s' empècher de repenser à ce moment , alors qu' ils croisaient au large du Nordland, ou ils avaient vu passer sous la coque de leur navire, une masse sombre ... Bien trop grosse pour être une de ces baleines. Les marins les plus supertisieux avaient aussitot adresser des prières à Manam, Dieux des mers en vue de l' appaiser. Quoiqu' il en soit, ils n' avaient plus revu cette créature. Néanmoins, de la mémoire des plus vieux marins, ressurgit la légende du Wyrms des mers, créature mystérieuse qui surgissait des abysses pour s' attaquer à ceux qui avaient le malheur de le renconter. Revenant à la réalité, le jeune pistolier en profita pour se lever afin de se diriger vers sa chambre. Non pas qu' il s' ennuyait, mais il se sentait particulièrement fatigué. Et puis, cette soirée ne serait surement pas la dernière. Il se dirigeat vers la fond du couloir, vers la chambre que lui avait indiqué l' hottelier. En chemin, il croisat le commanditaire de son expédition. De cet personne, il ne connaissait que le nom " Von Kreuger ", et les marins du navire n' avait pas put lui donner davantage de renseignement. Quoiqu' il en soit, l' individu dégageait une certaine majesté, chose qu' il n' avait rencontré que lors de sa visite à la cour impériale où il avait put apercevoir certains de hauts commandants de l' empire. L' homme lui adressa un signe de tête, avant de s' éclipser dans la salle commune. Le jeune homme se dit en lui même qu' il aurait à coeur de découvrir la mystérieuse identité de cet homme. Perdu dans ses pensées, il arriva finalement devant la porte de sa chambre. S' y engouffrant, il se posa sur son lit. Il pouvait entendre le blizzard siffler au dehors, tandis que par sa fenètre, il pouvait apercevoir la plaine kislévite.

-Eh bien , demain, j' en connais un qui va être content de galoper la-bas, se mit à penser Konrad. Tout en souriant à cette pensée, il se glissa dans son lit, et s' enfonca dans un profond sommeil."

Que pensez-vous du début de l' histoire ? C' est la première fois que j' écris sur le thème de Kislev, alors tout critique sera la bienvenue .

Tadadam, l' épopée continue ...

"Le lendemain matin, Konrad fut réveillé brusquement par Friedrich. Le marin n' avait pas fait mieux que de tomber de son lit. Pestant contre son compagnon, le jeune homme en profita pour se lever; il était réveiller, autant en profiter pour voir ce qui se tramait aux alentours. Saisissant des habits, il s' habilla en vitesse, avant de traverser le couloir vers la salle commune. Une pois parvenue a sa destination, il jetta un rapide coup d' oeil à la fenètre: le jour était à peine levé, et peu de monde se risquait au dehors. Mettant cela sur le compte de la rudesse du climat, Konrad se saisit de sa lourd manteau de voyage, et sortit. Le froid mordant qui l' attendit dehors le fit comprendre pourquoi les habitants était resté chez eux... Qu' importe se dit il... Après tout, il est jeune et on ne vit qu' une fois, ce n' est pas un peu de froid qui allait l' empecher de sortir."

Désolé, je n'avait pas encore prit le temps de lire, mais maintenant c'est fait.
Bien que je ne sois pas expert en lecture, je trouve l'histoire sympa.Continue ainsi !

Bon, après une longue absence ... reprise de l' histoire !

"Konrad se dirigeat vers l' écurie, dans l' intention d' aller chercher son destrier. En chemin, il croisa une patrouille de gardes kislévites. Eux au monis, ils n' ont pas froid, se surprit à penser le jeune homme, en les voyant emmitouflés dans leur garbadine.
Il débouchat finalement sur l' écurie, en profitant pour aller voir comment était loger sa brave monture. Il trouva Guisdo parfaitement installé dans son box. Ce dernier poussa un hénissement moqueur en voyant débarquer son jeune maitre, qui malgré le fait qu' il n' avait parcouru qu' une centaine de mètres entre l' auberge et l' écurie, était complètement recouvert de neige...

-Attends qu' on aille galoper dehors, et on verra si tu toujours aussi moqueur, s' amusa à lui répondre Konrad.

Saisissant le harchement du cheval, il entreprit de le lui revétir. Une fois cela effectué, il en profita pour examiner les autres montures. Il s' y trouvait 2 chevaux de bats, ainsi qu' une dizaine d' autres destrier comme Guisdo. Il remarqua néanmoins l' un d' entre eux. Le jeune noble avait souvent, dans son Reikland natal, visité les écuries des plus grands nobles de sa province, et cette monture devait surement appartenir a un grand seigneur. Sa robe noire, couplé a une crinière couleur argent lui donnait vraiment une prestance que peu de chevaux avaient, et le jeune pistolier de demanda si un noble bretonnien avait élu domicile dans la ville... Quoiqu' il en soit, il avait déja son destrier, et il chassat cette pensée de son esprit. Enfoiurchant sa monture, il se dirigeat vers la porte Nord de la ville. Il avait entendu parler, durant la soirée, d' une petite bourgade, et il avait décider de s' y rendre pour découvrir la campagne kislévite."

L' épopée continue ... Suite à un nouvel emploi du temps de fac, j' ai enfin du temps à consacrer à cette histoire. Ce qui à été écrit au dessus correspond plus à une préface, prologue, intro.